Disparition du commissaire à la santé et au bien-être : le symptôme d’une maladie plus profonde

24 mars 2016

S’il faut se désoler de la volonté gouvernementale d’abolir le poste de Commissaire à la santé et au bien-être, l’Association québécoise des retraité(e)s des secteurs public et parapublic (AQRP) ne s’en étonne pas.

« Après s’être livré à une centralisation sans précédent, le ministre confirme qu’il refuse d’emblée toute critique en abolissant purement et simplement celui qui a pour mission d’évaluer le réseau de santé au Québec, et donc, potentiellement d’apporter un éclairage nuancé sur des décisions prises par le ministre depuis sa nomination. », a expliqué le président de l’AQRP, Donald Tremblay. 

«  Il me semble qu’il sera primordial au cours des prochains mois et années qu’un organisme neutre puisse évaluer les changements apportés par le ministre depuis deux ans.  Pourquoi se priver de cette expertise ? Pourquoi avoir enfouie, presque cachée, cette abolition dans un recoin du budget ? On espère que le gouvernement va faire marche arrière ! », a demandé M. Tremblay.

Voici le communiqué émis par le Commissaire à la santé et au bien-être en réaction à sa disparition.

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